Les grands chefs sont de plus en plus nombreux à se lancer dans la street-food. Après Emmanuel Renaut ou encore Alexandre Mazzia, Alan Geaam ouvre Sâj, un comptoir de galettes libanaises. "Cuites sur une tôle bombée, ces authentiques galettes levantines ultra-populaires au Liban, rendent hommage aux origines du Chef. Croustillantes et parfumées, elles sont confectionnées dans cet ancien atelier du 3e arrondissement à partir de farines de blé et de maïs, 100 % faites maison, pour un résultat plein de générosité et de gourmandise", explique le communiqué. "On ne sait pas ce que l’avenir réserve aux restaurants, alors il faut se bouger et ne surtout pas baisser les bras ! J’avais ce projet en tête depuis un moment. Vu la situation plus qu’incertaine, je me suis dit que c’était le moment de se lancer !", se réjouit le chef étoilé. Voici un aperçu du menu :
Halloumi – 9,50€
Halloumi et mozzarella, concombre, menthe, graines de nigelle.
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Shawarma volaille - 12,50€
Poulet mariné aux épices, citron, et yaourt, salade, aïoli, cornichons.
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Halloumi/Soujouk - 10,50€
Galette libanaise aux épices soujouk et fromage de brebis.
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La man’ouché : la plus traditionnelle - 7,90€
Zaatar et huile d’olive, concombre, menthe, cébette.
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Labneh - 8,90€
Labneh (fromage frais libanais), olive Kalamata, sariette, concombre, cébette.
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Kefta - 12,50€
Viande hachée d’agneau parfumée aux épices, houmous, persil, oignons rouges, sauce tahini.
Pour accompagner les galettes, un large choix de mezzés de chez Qasti, le bistrot levantin du Chef situé à deux pas : houmous, labneh, baba ganoush, kebbeh...
Côté dessert, Alan Geaam mise sur le pâtissier Julien Noray avec des créations faisant le lien entre les origines libanaises du chef et ses bases classiques françaises.
Où ? Sâj, la galette libanaise, 51 rue de Montmorency, 75003 Paris.
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